dimanche 6 avril 2014

The Grand Budapest Hotel

Si je devais avoir un unique film préféré, ce serait «The Grand Budapest Hotel» de Wes Anderson. J'ai bien aimé l'appréciation de Victor, avec qui je suis allée voir le film, qui a comparé l'émotion ressentie durant le visionnement à celle qu'on aurait à l'écoute d'un jeune Mozart, enfant prodige au piano, ou pour une version moderne, à l'écoute du pianiste prodige de 14 ans Daniel Clarke.

Un point qui m'a plu tout particulièrement dans ce film, oeuvre d'art d'une grande prestance, est que chaque plan est méticuleusement calculé pour maintenir la symétrie, signature du cinéaste. Chaque image créée est un vrai délice, on pourrait toutes les croquer comme des petites pâtisseries Mendl's (voir le vidéo qui clôt ce billet). Puis, Wes Anderson a cette façon de passer d'une idée à l'autre sans détour que j'adore! Je vous incite à visionner ce film au cinéma. J'y suis allée vêtue de rose, bien sûr.


(J'ouvre une petite parenthèse ici pour vous présenter un ami mal aimé, M. Luz, car bien que la luzerne ne soit pas comparable à The Grand Budapest Hotel, elle mérite un peu de reconnaissance en ce bas monde!


La parenthèse est fermée.) 


Don't flirt with her!


Maison de rêve. Délicieux.


Zero et Agatha

La recette que j'essaierai assurément durant notre semaine de congé de Pâques : des courtisanes au chocolat!